WEEK-END DE SOUMISSION

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il y a 8 ans

WEEK-END DE SOUMISSION

A 18h00, j'arrive devant la maison de mon Maître, lieu de plaisir pour lui et de soumission pour moi. Car c'est que je suis, soumis et servile devant les hommes, ne trouvant que du plaisir dans l'obéissance. Je n'aime rien de plus que n'être qu'un objet de plaisir en leurs mains viriles. Je pousse le portillon puis me dirige vers la porte de derrière, un soumis comme moi ne pouvant pas décemment entrée par la porte principale. Je toque puis attend que mon Maître ouvre.

Pendant ce temps, je me mets en tenue, c'est-à-dire que je me déshabille entièrement, ne gardant que mon boxer noir. Je sais que mon Maître aime me découvrir aussi peu vêtu. J'ai 23 ans et je me suis entièrement rasé, mon maître m'aimant parfaitement glabre. Peu musclé, un peu du genre « crevette », je ne suis pas désagréable à regarder. Après avoir rangé mes affaires dans mon sac, j'attache à mou cou ma laisse puis m'agenouille. Je baisse la tête tout en levant mes mains qui contiennent l'embout de ma laisse comme une offrande. Puis j'attends. Heureusement, nous sommes en été et il ne fait pas froid. Je ne crains pas d'être vu car la maison est entourée de hautes haies et les maisons voisines sont assez loin. J'ai dû venir en bus, puis marcher une demi-heure à pied pour venir chez mon Maître mais cela en valait le coup car il aura tout le week-end pour profiter de moi et m'utiliser comme il lui semble. Dans son dernier message, il m'a écrit, « prépare-toi salope, tu vas morfler ». J'en salive déjà !

La porte s'ouvre et mon Maître m'accueille comme il se doit.

« Ah, te voilà salope, prête à me servir ?

  •   Oui Maître, je suis à votre entière disposition.
    
  •   Bien, tu es une bonne chienne dit-il en me caressant les cheveux comme un bon toutou. Allez, rentres pour honorer ton Maître
    
  •   Oui Maître »
    

Mon Maître, un bel homme d'une quarantaine d'année, bien bâtie, au visage sévère, se saisie de la laisse et me fait avancer sans ménagement à l'intérieur. Nous entrons dans la cuisine, moi à quatre pattes. Il ferme la porte puis me saisit par le menton pour que je puisse le voir. Son visage viril et autoritaire m'emplit d'un besoin de lui obéir et lui satisfaire.

« Alors, pourquoi est-tu venu petite pute ?

  •   Pour vous faire plaisir Maître
    
  •   Mais encore ?
    
  •   Pour m'humilier devant, me soumettre à votre autorité car je suis une pute, une salope et une chienne qui ne demande que ça.
    
  •   Montre-le ! Bâtard ! »
    

Il tire sur la laisse et mon visage s'écrase contre son entrejambe. Aussitôt, par reflexe, je me mets à me frotter contre lui tout en gémissant. A travers le pantalon de costume, je sens son sexe durcir. Cela me fait bander à mon tour et sais que bientôt, mon propre sexe risque de dépasser mon boxer. Je gémis plus dort. Le Maître me flatte les cheveux puis le visage. Il tire sur la laisse puis me traine au salon. Là, il enlève son pantalon puis son slip, libérant l'objet de mes phantasmes, une magnifique queue de 16 cm bien épaisse. Je suis à un mètre de lui, ma langue pend comme une chienne en chaleur. Il s'assied sur le canapé puis tire à nouveau sur la laisse pour me faire signe que je peux y aller. Je me jette sur sa bite pour l'honorer avec ma langue et ma bouche de pute.

« Huuum, c'est bon, c'est ça, lécher-là bien…. Oui je veux voire ta langue remonter …. Arrête-toi sur le gland, comme une glace, …. Regarde-moi salope ! Vas-y maintenant tu peux l'avaler… ça se voit que tu aimes ça, hein p'tite pute ? »

Je ne peux pas répondre, ma bouche étant remplie mais j'acquiesce tout en gémissant plus fort.

« vas-y continue, vénère-là… oh c'est bon, tu as vraiment une bouche de pute, toi »

Tandis que je continue à le sucer, il se penche vers moi, baisse un peu mon boxer et commence à titiller l'orifice de mon cul, « ma bouche à bite de derrière » comme mon Maître aime à l'appeler. Il avait prévu du gel à porter et bientôt un puis deux puis trois doigts se mettent à explorer mon cul. Je ne m'en gémis que plus fort !

Au bout de cinq minutes, il me fait arrêter de sucer.

« Allez, on monte au grenier p'tite pute »

Toujours à 4 pattes, je monte au premier puis au grenier. Celui-ci est quasiment entièrement vide et dédié uniquement au plaisir de mon Maître. Il court tout le long de la maison et ses murs sont inclinés. Mon Maître l'a fait isoler aussi bien thermiquement que phoniquement. Au fond, une grande cage peut m'accueillir si je ne suis pas sage. Sont également présent un sling, un pilori et une commode contenant tout un attirail de jouets. Une bâche recouvre une partie du sol. Arrivé au centre du grenier, il me dit brutalement de lever.

« écarte les jambes, les mains sur la tête, oui comme ça »

Il se met derrière moi et comme à me caresser le torse, le ventre puis mon boxer, je ne peux m'empêcher de gémir à nouveau. Il introduit sa main dans boxer pour caresser ma queue, tendue par le désir.

« Huum, tu aimes ça salope

  •   Oui Maître
    
  •   Qu'est-ce que tu es ?
    
  •   Une pute Maître !
    
  •   Dis « je suis une pute »
    
  •   Plus fort
    
  •   Je suis une pute
    
  •   Plus fort
    
  •   JE SUIS UNE PUTE !
    
  •   Continue, je vais chercher un matériel, je veux t'entendre »
    

Pendant que mon Maître s'absente, je continu à clamer haut et fort ma condition de pute. Peu de temps après, mon Maître est revenu avec un trépied, une caméra et son ordi portable. Il installe le tout puis lance skype. Mon Maître va m'exhiber devant ses amis. Il en a profité pour enlever ses vêtements, dévoilant sa musculature.

« Assis ! »

L'ordre à claquer sèchement. Je m'exécute aussitôt, relevant bien mon visage en face de la caméra. Je vois sur l'écran que cinq personnes sont connectées mais ne peux les voir.

« Bonsoir les amis, comme promis, voici mon petit soumis personnel. Dis-bonjour p'tite pute

  •   Bonsoir messieurs
    
  •   Dis aux autres ce que tu es vraiment !
    
  •   Une petite pute, une chienne chaleur dont le seul but est de satisfaire des mâles !
    
  •   Elle a l'air bien éduquée ta chienne ! répondit une voie d'une cinquantaine d'année
    
  •   Ouais trop une chaudasse ! ajouta une autre mais plutôt dans la trentaine »
    

Mon Maître me fit tirer la langue pour bien signifier ma condition de chienne puis, je du sucer à nouveau, lentement et langoureusement ? Du coin de l'œil je pu voir sur l'écran ma face en gros plan en train de lécher le sexe de mon Maître. Au bout de quelques minutes, il me fit reculer, lever. Il retira ma laisse qu'il remplaça par un collier. Il ajouta deux bracelets en cuirs épais à mes poignets. Il me fit lever les bras qu'il fit passer de part et d'autre d'une poutre basse puis attacha les poignets entre eux. Le milieu de la poutre était recouverte de mousse pour ne pas que le bois brute m'abîme ma peau. Il fit de nouveau la mise au points, les autres dominateurs en ligne s'échauffaient, m'insultait et plus ils m'insultaient, plus cela m'excitait. Mon Maître arracher brutalement mon boxer qu'il fourra dans ma bouche et diminuer mes gémissements.

Il continua à me préparer le cul. Il aimait bien prendre son temps et je pu sentir ses mains me caresser les fesses et ses doigts caresser mon conduit. Il finit par enlever le boxer de ma bouche pour que je puisse répondre aux dominateurs. Je dû leur dire à quel point j'aimai être soumis, recevoir des queues dans mon cul, que j'étais une pute, un réceptacle pour la semence de mâle, etc.

Puis mon Maître m'encula. J'adorai cela, sentir sa verge s'enfoncer dans mon cul lentement au début puis de plus en plus vite. Je ne pus m'empêcher de hurler de plaisir ! Et ce n'est pas les commentaires de mon Maître ou des autres hommes qui auraient pu diminuer ce plaisir

« tu as vu comme elle crie la pute

  •   C'est clair, elle aime ça
    
  •   La chienne,
    
  •   Vas-y, dis que tu aimes cela
    
  •   Elle bande, et mouille comme une chienne
    
  •   La vache »
    

Après avoir enfilé un préservatif, mon Maître me sodomisa pendant une quinzaine de minutes avant que je jouisse. Je savais que cela était mal, mon Maître ne m'ayant pas donné l'autorisation de jouir mais ne pu m'en empêcher. Sans que je me touche, des jets de sperme allèrent s'écraser par terre.

« Elle a joui la salope

  •   Elle en foutu partout, la garce »
    

Je savais que j'allais le payer après. Non sans m'avoir insulté et rabaisser, quelle pute désobéissante j'étais ! Il me détacher puis, je du entreprendre, à plat ventre et obliger de me déplacer ainsi, de lécher le sperme qui recouvrait à présent la bâche. Bien sûr, mon Maître déplaça la caméra pour qu'aucun de mes observateurs ne puisse rater le moindre de mes coup de langue ni le sperme qui commença à souiller mon nez et mon menton. Quand mon Maître fut satisfait du nettoyage, il me retourna sur le dos et enfourna sa magnifique bite dans ma bouche pour se finir. Aussitôt ma langue s'activa pour le satisfaire. Il ne tarda pas à jouir, il se releva un peu pour bien que les autres puissent voir les jets de semences masculine entrer dans ma bouche. Il fit alors un gros plan de ma langue, recouverte de ce doux nectar. « Avale » Je ne me fis pas prier et absorba le précieux liquide de mon Maître.

Le week-end ne faisait que de débuter…

Après que mon Maître m'ait nourri avec sa précieuse semence, il semblait plutôt satisfait et nous descendîmes à la salle de bain. J'eu l'honneur de pourvoir savonner, caresser et masser son superbe corps alors que nous étions sous la douche. Il fit de même et n'hésita pas à me doigter, autant dire que cela provoqua en moins d'irrépressibles gémissements de plaisir. Il n'eut qu'à tendre le bras pour se saisir d'une capote (il en avait disposé un peu partout pour pouvoir m'enculer à tout moment) et il gare sa bite dans mon trou dans la minute qui suivait. Il me pilonna sans douceur tout en me traitant de salope et de chienne en chaleur.

« Tu aimes ça ? Hein ? Ma queue dans ton trou de pute !

  •   Oooh oooooui Maître
    
  •   Ce n'est pas un anus que tu as mais un vrai garage à bite, une chatte de femelle fait pour satisfaire les vrais mâles comme moi !
    
  •   Oui Maître ! »
    

Après quelques minutes, sentant venir la jouissance, il se retira, enleva la capote et me baissa sans ménagement et me fourra sa bite dans la bouche. Ça c'est mon Maître qui pense à moi, il savait à quel point j'aime le sperme et le recevoir dans ma bouche ou sur mon visage ! Je ne tardai pas à recevoir le précieux nectar pour la seconde fois de la soirée !

Après avoir fini nos ablutions, nous redescendîmes à la cuisine. Mon Maître s'était habillé d'un pantalon et d'une chemine et moi, outre mon collier, je ne portai qu'un jockstraop noir. Je fis la cuisine pendant que mon Maître regarda la télé puis lui apportai son repas. Il était assis sur le canapé, son plateau repas à côté. J'étais à ses pieds pour manger. Chose assez incroyable, nous ne tardâmes pas à nous coucher et il m'autorisa à dormir avec lui et non à ses pieds. Il m'expliqua qu'il fallait que je me repose car le lendemain, il faudrait que je sois en forme et à la hauteur. Tout en promettant à mon Maître que je serai à la hauteur et qu'il sera fier de moi, je ne pus m'empêcher de me demander ce qu'il avait prévu pour moi. En tout cas, après avoir enlevé mon collier, je pu me blottir contre le beau corps musclé de mon Maître.

Le lendemain, samedi, nous nous réveillâmes à peu près en même temps, avec la gaule bien sûr ! Ni une, ni deux, j'entrepris de lécher et sucer le membre de mon Maître. Il ne me laissa pas aller jusqu'à l'orgasme et m'ordonna de préparer le petit déjeuner. Ce que je fis avec empressement. Avant que je descende, il prit le temps de remettre mon collier de chienne ainsi que d'enfoncer dans mon cul un plug dont l'un des côté a une forme de queue de chien.

Vers 10h, la sonnerie de la porte d'entrée retentit. Pendant que mon Maître alla ouvrir, je restai dans le salon, sur mes genoux. J'entendis une partit de la conversation. C'était le facteur qui avait besoins d'une signature pour un colis. Une fois cela fait, mon Maître continua à discuter avec le facteur qu'il connaissait bien apparemment. Soudainement il me cria :

« Eh la chienne, approche un peu pour voir ! Et à 4 pattes !»

J'étais pétrifié, jamais mon Maître ne m'avait exhibé à des inconnus en « vrai », quelques fois en ligne avec certains de ses amis triés sur le volet.

« Alors tu te magnes ? »

Sentant qu'il ne fallait plus que j'hésite. Je me mis à 4 pattes puis avança dans l'entrée en baissant bien la tête. Le facteur eue un sifflement d'admiration.

« Putain, tu ne m'avais pas menti, elle est bien dressé ! »

Apparemment, il lui avait déjà parlé de moi.

« Elle fait tout ce que je veux, n'est-ce pas salope ?

  •   Oui Maître.
    
  •   Dis à moi à quoi tu sers ?
    
  •   A vous satisfaire Maître, vous et tous les vrais mâles.
    
  •   Pourquoi ?
    
  •   Parce que je ne suis qu'une pute, une chienne en chaleur qui ne sert qu'à ça Maître »
    

Mon Maître se retourna vers le facteur.

  •   « Je sais que ta copine ne suce pas, tu veux l'essayer ?
    
  •   Ouais, grave, aller approche salope »
    

Il ne tarda pas à prendre ma tête pour la coller à son entrejambe. Je sentis son sexe durcir. Il finit par le sortir de son pantalon. Il me bloqua contre le mur et m'enfonça sa bite dans la bouche. Ma langue s'activa d'elle-même pour satisfaire cette bite, elle en flatta tous les contours, lécha ce membre avec délectation, s'attardant sur le gland. Il ne tarda pas à gémir de plaisir. « Oh putain, c'est bon ça, continue, vas-y suce, suce ! » J'en profitais pour lever les yeux pour détailler le mâle qui me remplissait la bouche. Un petit jeune d'une vingtaine d'année, blond comme les blés. Il ne tarda pas à jouir et bien sûr, je pris soin de récolter tout le sperme. Je ne m'attendais pas ce que mon Maître me prête comme ça, comme un objet, mais j'en conçu un vif plaisir. Le facteur ne put s'attarder car il devait continuer sa tournée mais je vis dans ce regard qu'il en voulait plus.

Mon Maître me caressa la joue.

« Tu as bien travaillé, tu as aimé le sucer ?

  •   Oui Maître
    
  •   Cet après-midi, les hommes qui t'ont maté hier soir vont venir et tu devras les honores comme tu m'honores, tu as compris p'tite pute ?
    
  •   Oui Maître
    
  •   Tu n'es qu'un sex toy que je peux prêter à mes amis
    
  •   Je suis votre propriété Maître et je ferai tout ce que vous voulez
    
  •   J'espère bien p'tite pute »
    
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